mardi 27 janvier 2009

Travailler, oui, mais pas à n'importe quel prix.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

toute peine mérite salaire.
Pas forcément de l'argent, un sourire, un merci, un service peuvent payer largement un travail.
Heureusement sinon où serait l'amour qui permet d'offrir un travail sans rénumération d'argent, juste pour le plaisir de faire plaisir.

Anonyme a dit…

est ce le travail à l'extérieur , un métier ? pourquoi travailler? pour de l'argent ? une reconnaissance de soi ? une reconnaissance des autres ? le bonheur passe t-il par le travail ?
le salaire c'est quoi ? du fric ou le bonheur d'avoir accompli quelque chose de valable, d'être fier de soi ?

Anonyme a dit…

Certaines travaillent trop, d'autres ne travaillent pas assez. Quoiqu'il en soit, les femmes sont de plus en plus précaires. Jusqu'ici rien de nouveau, ça saute aux yeux.
Proposition (Utopiste ?) Au lieu de travailler A l'usine de fabrication de soldats en plastique vendus dans le rayon garçons du magazin de jouets,travaillons SUR la résistance. Exemple : grève du zèle : fabriquons les soldats très très très lentement et grâce au temps gagné (celui-ci non marchand) discutons politique autour d'un cawa.
Moins de biens, plus de liens - entre les femmes entre autres.

Vie Féminine a dit…

En tous cas autour de moi, mes potes, nanas comme mecs, valorisent ça fond, trouve super glorifiant de dire qu'elles/ils travaillent 10h par jour, non plus de temps pour rien...
Alors que moi je revendiquerai une baisse générale du temps de travail.